Princesse vieille reine

Revue de presse


Le corps ne s’oublie pas, dans le spectacle de Marie Vialle où le plaisir naît de la rencontre entre le texte d’un véritable auteur à la langue tenue et élégante, et  un désir d’actrice – c’est-à-dire, entre toutes, une femme qui s’expose à la séduction, et doit jouer avec les multiples images de la féminité. Dans Princesse Vielle Reine, c’est Impériale qu’elle est, Marie Vialle .

Fabienne Darge, Le Monde, Septembre 2015

Marie Vialle invente une forme consistant à faire exister un récit à plusieurs personnages en créant son propre espace ; un monde intermédiaire où règne la plus libre fantaisie. Les accents érotiques de l’écriture de Pascal Quignard trouvent là un merveilleux exutoire car on ne situe plus dans le réel mais dans un territoire de rêves auquel Marie Vialle donne chair avec un humour délicieux.

Hugues Le Tanneur, Libération, Septembre 2015

Marie Vialle chante, dit, interprète, nuance, chuchote, déchire de cris d’oiseaux, incarne, se déplace, fascinante et gamine parfois. On est sous le charme d’une perfection intellectuelle, musicale, sensuelle.

Armelle Héliot, Le Figaro